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GREENPEACE ESSAI DE PASSER LE BITCOIN EN BLOCKCHAIN PROOF OF STAKE

Greenpeace, l’organisation pour la défense du climat est depuis maintenant une année entière en opposition au Bitcoin. Leur principal argument étant la demande d’énergie titanesque que requiert cette monnaie numérique. L’organisation reproche un manque de considération environnementale et sonne les développeurs à passer sur un autre processus. Ils ont d’ailleurs mis la campagne « changer le code, pas le climat » sur pieds. Elle reste à l’encontre des crypto-acteurs afin de persuader les mineurs et le gouvernement. Les forcer à promouvoir le passage du Bitcoin d’un processus proof of work vers un autre proof of stake.

Greenpeace n’est pas la première structure à remettre le problème de la consommation énergétique sur le tapis. Tous les grands détracteurs de crypto-monnaies l’ont déjà fait et cet argument perdure depuis des années. Les experts eux, affirment qu’au contraire que le Bitcoin et la monnaie numérique en général pourrait plutôt être la solution pour la planète. Pour illustrer cela, de plus en plus de mineurs de Bitcoin s’illustrent dans des moyens innovants d’exploitation d’énergie verte. Beaucoup de fermes de minages sont créées aux abords de centrales hydro-électriques. Et tellement d’autres s’adonnent à la consommation d’énergie verte.

Greenpeace produit de l’art accusateur

Le 23 Mars dernier, l’organisation écologie a fait appel à Benjamin Von Wong un artiste célèbre dans le milieu de la lutte pour l’environnement. Il était censé produire une œuvre illustrant la destruction environnementale et les répercussions négatives produisent par le Bitcoin.

Leur œuvre Skull of Satoshi est une structure d’un crane de 3 mètres qui illustre le logo Bitcoin avec des yeux rouges. Le crane en lui-même est constitué de pièces recyclés de divers déchets électroniques. Au-dessus de celui-ci, des cheminés fumantes de centrales nucléaires sont représentées.

Certes l’œuvre est très symbolique pour la communauté écologique, mais elle a une toute autre signalétique pour la communauté Bitcoin. En effet, bien que le but de l’œuvre soit d’attaquer le processus de proof of work et de la crypto-monnaie plus globalement, de nombreux acteurs de la crypto-sphère y trouvent une certaine forme d’admiration. Parmi eux, nous pouvons déjà citer le directeur stratégique de Compass Mining Will Foxley, ou encore le cofondateur de Coin Metrics Nic Carterrics qui adhèrent à une vision de mascotte pour la structure.

Pour finir, Greenpeace se réserve le droit de critique sur le système de proof of work qui caractérise encore le Bitcoin. Et veut absolument réduire son empreinte  sur  les dégâts environnementaux comme Ethereum, en le faisant passer au proof of stake.

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